scène de théâtre

Quelques élèves de la 3ème Enzo Lefort donnent leur sentiment sur la pièce « Fòs a kaz la », performance théâtrale qui a eu lieu à la salle Robert Loyson, le vendredi 1er décembre 2023.

« Fòs a kaz la » est une pièce de théâtre écrite et mise en scène par Myriam Baldus et Géraldine Bénichou. Cette pièce raconte le retour de Myriam Baldus dans la case en tôle construite par son grand-père en Guadeloupe, l’île où elle est née et qu’elle a quitté à l’âge de deux ans. Myriam raconte son histoire à l’aide de mots slamés et contés au rythme du gwoka ou en images et vidéos. Personnellement, j’ai beaucoup apprécié cette pièce, c’était un travail très impressionnant, il y avait de belles musiques, de beaux textes, un excellent montage, de quoi passer un bon moment. (Stella)

La pièce de théâtre était très bien jouée, elle racontait l’histoire réelle d’une jeune fille appelée Myriam, elle parlait de la manière dont certains guadeloupéens ont été forcés de quitter leur cases en tôle pour aller vivre dans les cités en France. L’histoire était racontée en rap et en slam. Elle évoquait aussi la quête d’identité de la jeunesse guadeloupéenne. Elle m’a aussi fait penser à un documentaire sur l’histoire de la Guadeloupe. (Layna)

Florilège :

« Pour moi, on aurait dit plus un documentaire qu’une pièce, mais j’ai pas mal aimé » (Solène)

« Mymy, la narratrice, nous raconte son histoire, ses racines et son vécu, elle nous fait partager ses souvenirs. Elle nous fait passer le message qu’une maison c’est une histoire, des souvenirs. Une maison n’est pas qu’un simple objet que l’on abandonne, une maison, c’est comme un album photo, si on abandonne une maison, c’est son passé que l’on abandonne, une partie de soi-même. » (Barbara)

« Dans le tournage, on nous montre des gens qui ont une tragique histoire à raconter. La comédienne dit plusieurs fois « qu’un enfant peut quitter son pays mais que le pays ne peut pas quitter l’enfant ». (Yana)

« J’ai trouvé que l’histoire de Myriam était très à cœur et émouvante et qu’on ressentait tous les sentiments. » (William)